Un autre animateur de TF1 viré, la mauvaise nouvelle vient de tomber.
Selon nos sources la chaine de télévision TF1 aurait pris la décision de déprogrammer une quotidienne culte, tous les détails dévoilés ici.
Depuis le 23 mars dernier, TF1 propose, du lundi au vendredi à 19 heures, le magazine d’information Sept à Huit La quotidienne.
Au cœur de la crise qui frappe la France aujourd’hui, Harry Roselmack TF1 présentera chaque jour ce nouveau rendez-vous d’information avec des reportages inédits.
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Photo par @hamzaztc Bientôt à la une de @esimbimag #fractureslefilm #entrepreneurlife
Comment les familles, les entreprises, les personnels soignants, les commerçants, les personnes isolées affrontent-ils cette épidémie et ses conséquences ?
Les équipes de Sept à Huit TF1 mobilisées seront à l’écoute des Français pour raconter leurs expériences de vie, leurs difficultés et leurs initiatives face à cette situation exceptionnelle”, explique d’ailleurs la chaîne au sujet de ce programme, sur son site Internet.
Mais déjà, le groupe veut s’en séparer. C’est en tout cas ce que rapporte Puremédias qui annonce une déprogrammation prochaine de ce format qui devait remplacer Demain nous appartient, la célèbre série de TF1 qui cartonnait sur la Une mais dont les inédits manquaient, faute de tournage et ce, à cause de la crise sanitaire que nous traversons.
Ce sont les audiences faiblardes qui auraient poussé les dirigeants à prendre cette décision. Une dernière émission serait programmée pour vendredi… ensuite, Harry Roselmack devrait disparaitre de la chaîne, tout du moins, la semaine. Les fidèles pourront évidemment et heureusement encore le retrouver le dimanche avec la version classique de Sept à Huit.
Harry Roselmack TF1 évoque les conséquences du coronavirus sur son fils
Dans une interview accordée à un magazine français, publiée jeudi 2 avril 2020, l’animateur Harry Roselmack évoque les conséquences de la crise du coronavirus sur sa famille.
Le confinement et tous les aléas liés à la crise du coronavirus ne sont pas faciles à appréhender.
Certaines et certains le vivent mieux que d’autres.
Le journaliste Harry Roselmack, dont l’émission Sept à Huit vient de passer en quotidienne sur TF1, du lundi au vendredi, se confie sur sa nouvelle vie de confiné.
Le présentateur du programme phare de la Une explique notamment, dans une interview accordée à Télé-Loisirs jeudi 2 avril 2020, comment il jongle entre son activité professionnelle et son rôle de père.
Marié depuis 2001, Harry Roselmack TF1 est l’heureux papa de trois enfants : Omaya (née en 2007), Yanaël (née en 2008) et Leroy (né en 2010).
Me concernant, je travaille à la maison le plus possible. Je ne vais au bureau que le matin, pour enregistrer les voix des sujets diffusés le soir, commence-t-il. Et de poursuivre, à propos de ses enfants : Mes deux grandes, qui sont au collège, m’impressionnent.
Elles ont énormément de travail et sont très mobilisées sur les cours. Comme je suis souvent à la maison, je me sens beaucoup plus utile en aidant mes enfants lorsqu’ils en ont besoin.
Par ailleurs, leurs cours de musique, ils jouent du piano, du violon et du violoncelle continuent d’être assurés à distance.”
Des nuits agitées pour son fils Leroy
Si toutes les familles font tout pour mener une vie normale face à une situation exceptionnelle, il arrive que les enfants (et les grands !) aient des moments d’angoisse.
Harry Roselmack TF1 raconte ainsi que la peur du coronavirus a eu une incidence sur le sommeil de son fils, âgé de dix ans à peine.
Avec les enfants, on essaie de dédramatiser au maximum, assure le journaliste. On leur dit qu’ils sont très bien protégés du virus, que je prends toutes les précautions quand je sors.
Mon fils m’a dit qu’il avait fait un cauchemar avec une vague de virus qui arrivait sur la maison. Mais ce n’est arrivé qu’une fois.
Le fait que sa femme Chrislaine ait connu l’univers médical peut toutefois s’avérer utile.
C’est vrai que Chrislaine a été aide-soignante pendant de longues années, rappelle l’animateur de 47 ans.
C’est une profession et une réalité que je connais par son intermédiaire et dont je mesure la pénibilité.
Et de conclure : Cette crise met en lumière l’importance de certains métiers, sans lesquels nous sommes très fragiles.